29/09/2014
207 - Le multicriminel en herbe, N. Sarkozy : « Je vous débarrass'rai de toute cette racaille »…
Texte écrit les 25 et 26 septembre 2014.
Le multicriminel en herbe, N. Sarkozy :
« Je vous débarrass’rai de toute cette racaille »…
Le 20 juin 2005, le pitre, toujours ministre de l’Intérieur, se rend à La Courneuve (Seine-Saint-Denis). Selon lui, il faut nettoyer au Karcher la cité des 4000. « Le terme “nettoyer au karcher” est un terme qui s’impose parce qu’il faut nettoyer c’la. » « C’la », c’est-à-dire les… délinquants. La question qui se pose, ici, est effectivement celle à propos des délinquant(e)s : faudra-t-il nettoyer le Palais de l’Élysée, les ministères, l’Assemblée Nationale et le Sénat au karcher ? Une réponse rapide s’impose.
[Vidéo Y., « Nicolas Sarkozy “Le terme Nettoyer au karcher est un terme qui s’impose” », 29 juin 2005.]
Quatre mois plus tard, le 25 octobre 2005, le même pitre se rend à Argenteuil (Val d’Oise) et, s’adressant à une habitante qui mettait le nez à la fenêtre et l’interpellait depuis son balcon en ces termes : « Quand nous débarrasserez-vous de cette racaille ? », le ministre de l’Intérieur devait s’exprimer ainsi : « Vous en avez assez, hein ? Vous en avez assez d’ cette bande de racaille. Ben, on va vous en débarrasser. »
[Vidéo Y., « Nicolas Sarkozy et les banlieues » – Archive vidéo Ina, ajoutée le 2 juillet 2012]
La racaille n’est pas forcément dans les banlieues des villes françaises…
La racaille, c’est celle qui triche parce que personne ne contrôle ses comptes, c’est celle qui protège les trafiquants de drogue et arme les djihadistes…
La racaille, c’est celle qui utilise des bombardiers pour détruire les infrastructures d’un pays – arabo-africain, par exemple –, pour massacrer une armée du peuple, une police du peuple et une population civile, pour saper les superstructures idéologiques d’un pays afin de renverser un État (comme l’État des masses en Libye), et faire assassiner un homme qui lui déplaît : Muammar Gaddhafi.
La racaille est multirécidiviste : elle a tué en Côte d’Ivoire, en Tunisie, en Égypte, en Libye, en Syrie, au Mali, en Centrafrique, en Palestine, en Ukraine… Et la liste est plus longue encore… Elle n'est pas qu'un chapelet de noms.
Les guerres de la racaille et l'exploitation des peuples par la racaille se comptent en centaines de millions de mort(e)s, hommes, femmes, enfants, en centaines de millions de handicapé(e)s et de blessé(e)s, en centaines de millions de traumatisé(e)s à vie, en centaines de millions de familles détruites à jamais. Elles se comptent en pays détruits, en développements entravés, en richesses du sol et du sous-sol gâchées. Elles se comptent en malheurs mais aussi en retard de développement pour l'humanité entière.
17:22 Écrit par Françoise Petitdemange | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pitre, ministre de l'intérieur, la courneuve (seine saint-denis), nettoyer au karcher, délinquant(e)s, palais de l'élysée, assemblée nationale, sénat, argenteuil (val d'oise), racaille, trafiquants de drogue, djihadistes, bombardiers, infrastructures d'un pays, arabo-africain, armée du peuple, police du peuple, population civile, superstructures, état, état des masses, libye, homme, muammar gaddhafi, multirécidiviste, côte d'ivoire, tunisie, égypte, syrie, mali, centrafrique, palestine, ukraine, peuples, mort(e)s, handicapé(e)s, blessé(e)s, traumatisé(e)s à vie, pays détruits, développements entravés, richesses du sol et du sous-sol gâchées, malheurs, retard de développement, humanité | Facebook | |
25/09/2014
206 - Un délinquant, un voyou, un récidiviste s'exprime...
Texte écrit les 23 et 24 septembre 2014.
Un délinquant, un voyou, un récidiviste s’exprime…
Donnant une interview à une journaliste, voici le pitre, alors ministre de l’Intérieur, qui, à propos de la délinquance, déclare : « Vous savez : la meilleure des préventions, c’est qu’ les voyous qui trafiquent sachent et comprennent qu’enfin maint’nant, ils vont risquer quelque chose. »
À tous ses détracteurs, il répond : « Alors quand je veux lutter contre la voyoucratie, contre les délinquants, alors qu’est-ce qu’i’ faut faire ? Donner des l’çons à tout l’ monde ? Oui, j’ai vu, que le récidiviste, c’était moi, à la Une d’un journal. » Possible… Possible… Pour une fois, un journal ne se trompait pas…
À propos des meurtriers récidivistes… « Alors, je demande plusieurs choses… La première, c’est que les conditions de l’application des peines, eh bien, il y ait pas que des magistrats qui décident […]. La deuxième chose que je veux dire, c’est qu’ les multirécidivistes, maint’nant, ça suffit. Il faut prendre des mesures pour que ceux qui n’ comprennent pas, comprennent enfin. Et je demande qu’il n’y ait plus d’ sursis, lorsqu’il s’agit d’un multirécidiviste, qu’il n’y ait plus d’aménagement d’ peine lorsqu’il s’agit d’un multirécidiviste […], et qu’il y ait comparution immédiate quand il y a un multirécidiviste. Parce que les policiers et gendarmes, vous savez, ils en ont assez de courir pour arrêter les mêmes qui r’commencent. Et pis y a une troisième chose qui est le problème difficile de la responsabilité et j’aim’rais qu’on y réfléchisse calmement parc’ que (la journaliste : La responsabilité des magistrats ?) » Le pitre : « Des magistrats, bien sûr. […]. Quand un homme politique se trompe, il est condamné. […]. Alors on me dit qu’ je mets en cause l’indépendance de la justice. Mais c’est une plaisant’rie. J’ai mis en cause quelle indépendance ? […]. Eh bien, permettez-moi d’ vous l’ dire, dans le divorce qui existe entre la justice et les Français, (tous deux parlent en même temps : mots incompréhensibles...), il y a aussi le sentiment que le Français de base est responsable et que le Français qui n’est pas de base n’est pas responsable. »
[Vidéo, « Sarkozy et le nettoyage au Karcher », date d’enregistrement : 19/11/2004 ; date de publication : 19/11/2006. Interview Françoise Laborde-Nicolas Sarkozy.]
« [L]e Français de base est responsable » et « le Français qui n’est pas de base n’est pas responsable »... voici donc un excellent moyen de faire que les deux Français soient responsables : supprimer toute immunité présidentielle, parlementaire, et permettre à la justice de faire son travail sans pressions politiques ou/et financières, sans menaces, afin que… « quand un homme politique se trompe, il est soit condamné. »
Certes, un délinquant, le minable Juppé, a morflé pour le patron (Jacques Chirac). Et si ce dernier a été épargné par le misérable délinquant Nicolas Sarkozy dès que celui-ci s’est trouvé installé avec sa clique aux manettes de la prétendue république, il le doit sans doute à l’intervention de son épouse, Bernadette Chirac. De quoi a-t-elle bénéficié – pour son mari délinquant – durant ce quinquennat courant de 2007 à 2012 ? Pour qu’elle monte tout de suite au créneau afin de soutenir le retour du pitre à l’Élysée… en 2017. Il a fallu que le deal soit de taille… Quant au reste… Affaires Sarkozy à suivre…
15:59 Écrit par Françoise Petitdemange | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : pitre, ministre de l'intérieur, délinquance, meurtriers, récidivistes, responsable(s), immunité, justice, travail, pressions, menaces, délinquant, clique, prétendue république, quinquennat, affaires sarkozy | Facebook | |
22/09/2014
205 - Le pitre Sarkozy représentant la France à l'étranger...
Texte écrit les 21 et 22 septembre 2014.
Le pitre Sarkozy représentant la France
à l’étranger…
Le pitre Sarkozy est interviewé pour la chaîne américaine CBS par une journaliste vedette du petit écran. Une maquilleuse achève de le préparer en présence de la journaliste.
Manifestement, il est mécontent d’avoir à donner cet interview, il se frotte le nez et déclare, sans doute à propos de celui chargé de son agenda : « I, il est stupide ! » La journaliste : « Mais, monsieur, ceci est » Lui : « Il est stupide. » Elle : « ceci est ceci est ce que les Américains vont voir… » Lui : « Non, non, mais… O.K. Mais moi, j’ai… »
Encore un coup de houpette sur la figure… La journaliste lui fait signe de souffler. Lui : « Ça y est. Je vais faire mon travail. Pas de souci. » Elle : « O.K. D’accord. » Il s’essuie la bouche avec sa main droite : « Quel imbécile !...» Il jette les yeux au ciel.
[Vidéo Y., « Sarkozy sur CBS : vidéo des coulisses non diffusée », mise en ligne le 29 oct. 2007.]
La journaliste pose deux-trois questions auxquelles il répond jusqu’au moment où elle aborde le terrain privé. Lui de répondre : « Mais, si j’avais à dire des choses sur Cecilia, je ne le ferais sûrement pas ici, et je n’ai pas de commentaire. Je vous r’mercie. » Tandis qu’elle continue à parler, il enlève le fil du micro qu’il a autour du cou tout en disant : « …si c’est pour me poser des questions. » « T’es vraiment un enfant, hein. » L’homme concerné, de s’exclamer : « Bof… » Le pitre serre la main de la journaliste tout en tournant la tête vers quelqu’un : « Bon courage ! » Il se lève et, tout en marchant : « Au r’voir, merci. Merci ! » La journaliste, interloquée, lui dit quelques mots mais il lui a déjà tourné le dos et s’en va après un geste peu amène en sa direction. Lui : « Allez ! » Elle le regarde quitter la pièce.
[Vidéo Y., « Nicolas Sarkozy : Le top 10 Gaffe », mise en ligne le 15 juin 2008. + Vidéo Y., « CBS Sarkozy interview scandale aux USA », mise en ligne le 28 oct. 2007.]
Certains hommes et certaines femmes politiques aiment à déballer leur vie privée lorsque celle-ci peut les rendre, aux yeux du bon peuple, sympathiques, vivant de la même vie que lui [sic], etc. Mais, lorsque cette vie privée tourne mal, alors ils-elles sont les premier(ère)s à s’offusquer de la moindre question qui leur est posée à ce sujet. Force est de dire et de redire, ici, que tout ce remue-ménage est loin de la politique, en tant qu’organisation et que développement de la Cité, de l’État, en tant que renvoyant à une constitution, c’est-à-dire à une structure et à un fonctionnement de la société dans son ensemble.
Au cours de la Conférence de presse au G8 qui a lieu en Russie, voici le pitre français qui débarque et s’installe au pupitre, visiblement éméché : « Mesdames et messieurs, j’ vous d’mande de bien vouloir excuser mon retard qui est dû (il toussote et se frotte le nez, tout en étant hilare) à la longueur (il retient son fou rire) du dialogue que j’ viens d’avoir avec monsieur Poutine. (Un peu chamboulant… remuant la tête…) « Qu’est-ce que vous préférez ? Qu’ je réponde aux questions ? Alors ! Y a-t-il des questions ? (En riant :) Allez-y ! Oui, oui. (Très gêné :) Ben, oui. »
« C’était franc puisque nous avons évoqué tous les sujets : la Tchétchénie, la journaliste, les droits de l’homme, les droits des homosexuels. Nous l’avons fait calmement, sereinement, mais… je l’ai fait sans aucune agressivité (là, manifestement, il retient un renvoi) mais nous avons échangé. J’ai trouvé un homme ouvert au dialogue, acceptant la discussion sur ces sujets complexes. Moi-même, j’ai essayé de comprendre quelle était la problématique des Russes qui ont depuis vingt ans – c’est incontestable – eu à affronter bien des crises et bien des difficultés. J’ai dit au président Poutine que l’Europe ne voulait pas isoler la Russie – d’ailleurs, comment isoler un pays grand comme un continent ! –, que la France souhaitait avoir un véritable partenariat de confiance et d’amitié avec la Russie et que la France voulait rassembler les énergies et en aucun cas diviser, hein. Bon ! J’ crois pouvoir dire qu’ ça s’est bien passé puisqu’ ça a duré beaucoup plus longtemps (il sourit jusqu’aux oreilles.) qu’il n’était prévu. J’ai j’ai trouvé un homme (le pitre, grimaçant) très au fait de ses dossiers (le pitre souriant…), très calme, très intelligent. Et c’était très intéressant d’évoquer tout ceci. (Nous avons affaire, ici, à des jugements : jugements du pitre sur le président de la Russie, sur la conversation.) Il m’a expliqué en détail la proposition qu’il avait faite au président Bush, quelques dizaines de minutes auparavant, s’agissant d’ l’affaire du radar (et il y a des journalistes pour prendre des notes !) et des missiles et je lui ai proposé que des experts militaires français, des experts militaires russes se réunissent pour voir ce qu’il en était. Bon ! Je J’ dois vous dire que j’ai eu beaucoup de de plaisir et d’intérêt à à à parler avec le président Poutine. (Fort heureusement pour le pitre… Il y avait un pupitre.)
[Vidéo Y., « Sarkozy ivre au G8 : L’intégrale », mise en ligne le 14 juin 2007.]
Et c’est ce pitre pour lequel madame Bernadette Chodron de Courcel, épouse de Jacques Chirac ex-président de la république, monte au créneau ? Et pourquoi donc, cette dame de 81 ans, veut-elle faire le lit de ce pitre ? Pourquoi donc veut-elle voir revenir à la fonction présidentielle, en 2017, ce pitre doublé d’un criminel ?
16:00 Écrit par Françoise Petitdemange | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pitre, sarkozy, terrain privé, vie privée, bon peuple, remue-ménage, politique, organisation, développement, cité, état, constitution, structure, fonctionnement, société, russie, éméché, jugements, président de la russie, conversation, bernadette chodron de courcel, jacques chirac, criminel | Facebook | |
21/09/2014
204 - Le pitre Sarkozy face à ses concitoyen(ne)s en France...
Texte écrit les 20 et 21 septembre 2014.
Le pitre Sarkozy face
à ses concitoyen(ne)s en France…
Juste après son élection, il se pavanait lors d’une escale en Bretagne, le 6 novembre 2007, avec son escorte d’endimanchés (chemises blanches, cravates impeccables, costumes bien taillés), au milieu d’une foule inquiète. Le voici, tout à coup, bafouillant : « C’est c’est c’ que si on veut vous aider et si on vient vous dit oui pouquoi il est venu ah bon allons et si on vient pas pouquoi il est pas venu bon c’est pas pour pour et en plus je vous amène le beau temps. » Dans la foule, quelqu’un lance : « Il pleut que sur les cons. » Goguenard, le pitre s’approche de l’homme qui lui fait face pour lui glisser à l’oreille… « Dis donc, il doit pleuvoir souvent, alors ! » Un autre homme, choqué, a entendu : « Ça veut dire quoi, qu’ les Bretons sont des cons ? »
Le pitre, à l’un des marins pêcheurs : « Je viens pour vous aider, hein… » Le marin pêcheur, très inquiet : « C’est toute la France ; c’est toute la France qui crève ! » Le pitre, commettant un lapsus : « Et pourquoi je suis pas là ! je suis là ! » À une dame qui lui dit : « Moi, j’ai travaillé, monsieur ! Attendez ! Laisse(z)-moi causer un peu ! »… Réponse du pitre : « Si vous parlez comm’ ça, je n’ vous parle pas. » Lui qui est toujours très poli… « Je n’ parle qu’aux gens corrects. » Quelque peu agacé, il affirme : « Je n’accepte pas les insultes à l’endroit des pêcheurs et je n’accepte pas les insultes des pêcheurs, moi non plus. Voilà ! »
[Vidéo Y., « Nicolas Sarkozy : rencontre mouvementée avec les pêcheurs - Ina, ajoutée le 30 juillet 2012. + Vidéo Y., devenue introuvable.]
Excédés de voir ce pitre protégé par une barrière de gardes du corps, entouré de sa bande de parvenus en partance pour les États-Unis, n’ayant mis pied à terre sur le sol breton que parce qu’ils sont entre deux avions, les marins pêcheurs du Guilvinec manifestent leur colère. Ces hommes de la mer ne peuvent oublier qu’aussitôt au pouvoir, le pitre s’est adjugé une augmentation substantielle (plus que substantielle, d’ailleurs) de ses émoluments, alors que, pour eux, la vie s’annonce encore plus dure.
Ils hurlent : « 140 %, Ordure ! » « Enculé ! » Au lieu de passer son chemin, voici le pitre qui crie en hochant la tête pour provoquer : « Qui est-ce qui a dit ça ? C'est toi qui a dit ça ? Ben, descends un peu l' dire. » L'auteur du mot cru réplique : « Hein ? ha, si j' descends, j' te mets un coup d' boule, donc, vaut mieux pas. Attends, mais... Qu'est-ce t'ouvres ta gueule, là ? 140 % : pas mal ! Combien tu touches par mois ? » Le pitre : « Descends un peu, si t’as, si tu crois, si tu crois que, si tu crois qu’ c’est en insultant qu’ te qu’ tu vas régler le problème des pêcheurs, eh ben permets-moi d’ te dire (il bafouille de colère). » Le pitre fait signe au marin pour qu’il descende… « Eh ! Ben, viens ! viens ! viens ! puisque » (Un homme de l’escorte est obligé d’emmener le pitre plus loin…)
En réalité, dès après son arrivée au Palais de l’Élysée, le pitre s’était adjugé une augmentation de traitement, non pas de 140 mais de 172 %, faisant passer ses revenus nets mensuels de 7.000 à 18.700 euros*.
[Vidéo Y., « Sarkozy grande gueule avec les marins pêcheurs. + Vidéo Y., "Sarko (Enculé !) en Armorique. + * Cf. Internet.]
Le 23 février 2008, lors d’une visite officielle au Salon de l’agriculture, le pitre allait se montrer très correct… en faisant le tour des stands. Le voici dans la cohue, tout souriant : il serre des mains… « Bonjour. » « Merci, hein. » « Bonjour. » « Bonjour. » Jusqu’au moment où il interpelle quelqu’un… « Monsieur », à qui il veut serrer la main. Mais l’homme lui dit : « Ah non, touche-moi pas… » Comme si cet homme n’avait pas le droit d’être là, le pitre lui rétorque : « Cass’-toi, alors… » L’homme : « Tu m' salis ! » Le pitre qui se croit tout permis : « Cass’-toi, alors, pauv’ con, va ! »
[Vidéo Y., « Casse-toi pauv' con ! Nicolas Sarkozy », au “Salon de l’agriculture : première visite mouvementée pour Nicolas Sarkozy”, 23 février 2008.]
Mais derrière ses pitreries, Nicolas Sarkozy ne pourra faire oublier aux peuples, libyen, français, ivoirien, russe, chinois, etc., qu’il est un criminel.
21:16 Écrit par Françoise Petitdemange | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : escorte d'endimanchés, pitre, sarkozy, marin(s) pêcheur(s), gardes du corps, bande de parvenus, guilvinec, hommes de la mer, augmentation, émoluments, palais de l'elysée, augmentation de traitement, revenus nets mensules, salon de l'agriculture, pitreries, nicolas sarkozy, peuples, libyen, français, ivoirien, russe, chinois, criminel | Facebook | |