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22/09/2014

205 - Le pitre Sarkozy représentant la France à l'étranger...

Texte écrit les 21 et 22 septembre 2014.

Le pitre Sarkozy représentant la France

à l’étranger…

     Le pitre Sarkozy est interviewé pour la chaîne américaine CBS par une journaliste vedette du petit écran. Une maquilleuse achève de le préparer en présence de la journaliste.
     
Manifestement, il est mécontent d’avoir à donner cet interview, il se frotte le nez et déclare, sans doute à propos de celui chargé de son agenda : « I, il est stupide ! » La journaliste : « Mais, monsieur, ceci est » Lui : « Il est stupide. » Elle : « ceci est ceci est ce que les Américains vont voir… » Lui : « Non, non, mais… O.K. Mais moi, j’ai… »
     
Encore un coup de houpette sur la figure… La journaliste lui fait signe de souffler. Lui : « Ça y est. Je vais faire mon travail. Pas de souci. » Elle : « O.K. D’accord. » Il s’essuie la bouche avec sa main droite : « Quel imbécile !...» Il jette les yeux au ciel.
     
[Vidéo Y., « Sarkozy sur CBS : vidéo des coulisses non diffusée », mise en ligne le 29 oct. 2007.]
     
La journaliste pose deux-trois questions auxquelles il répond jusqu’au moment où elle aborde le terrain privé. Lui de répondre : « Mais, si j’avais à dire des choses sur Cecilia, je ne le ferais sûrement pas ici, et je n’ai pas de commentaire. Je vous r’mercie. » Tandis qu’elle continue à parler, il enlève le fil du micro qu’il a autour du cou tout en disant : « …si c’est pour me poser des questions. » « T’es vraiment un enfant, hein. » L’homme concerné, de s’exclamer : « Bof… » Le pitre serre la main de la journaliste tout en tournant la tête vers quelqu’un : « Bon courage ! » Il se lève et, tout en marchant : « Au r’voir, merci. Merci ! » La journaliste, interloquée, lui dit quelques mots mais il lui a déjà tourné le dos et s’en va après un geste peu amène en sa direction. Lui : « Allez ! » Elle le regarde quitter la pièce.
     
[Vidéo Y., « Nicolas Sarkozy : Le top 10 Gaffe », mise en ligne le 15 juin 2008. + Vidéo Y., « CBS Sarkozy interview scandale aux USA », mise en ligne le 28 oct. 2007.] 
     
Certains hommes et certaines femmes politiques aiment à déballer leur vie privée lorsque celle-ci peut les rendre, aux yeux du bon peuple, sympathiques, vivant de la même vie que lui [sic], etc. Mais, lorsque cette vie privée tourne mal, alors ils-elles sont les premier(ère)s à s’offusquer de la moindre question qui leur est posée à ce sujet. Force est de dire et de redire, ici, que tout ce remue-ménage est loin de la politique, en tant qu’organisation et que développement de la Cité, de l’État, en tant que renvoyant à une constitution, c’est-à-dire à une structure et à un fonctionnement de la société dans son ensemble.
     
Au cours de la Conférence de presse au G8 qui a lieu en Russie, voici le pitre français qui débarque et s’installe au pupitre, visiblement éméché : « Mesdames et messieurs, j’ vous d’mande de bien vouloir excuser mon retard qui est dû (il toussote et se frotte le nez, tout en étant hilare) à la longueur (il retient son fou rire) du dialogue que j’ viens d’avoir avec monsieur Poutine. (Un peu chamboulant… remuant la tête…) « Qu’est-ce que vous préférez ? Qu’ je réponde aux questions ? Alors ! Y a-t-il des questions ? (En riant :) Allez-y ! Oui, oui. (Très gêné :) Ben, oui. »
     
« C’était franc puisque nous avons évoqué tous les sujets : la Tchétchénie, la journaliste, les droits de l’homme, les droits des homosexuels. Nous l’avons fait calmement, sereinement, mais… je l’ai fait sans aucune agressivité
(là, manifestement, il retient un renvoi) mais nous avons échangé. J’ai trouvé un homme ouvert au dialogue, acceptant la discussion sur ces sujets complexes. Moi-même, j’ai essayé de comprendre quelle était la problématique des Russes qui ont depuis vingt ans – c’est incontestable – eu à affronter bien des crises et bien des difficultés. J’ai dit au président Poutine que l’Europe ne voulait pas isoler la Russie – d’ailleurs, comment isoler un pays grand comme un continent ! –, que la France souhaitait avoir un véritable partenariat de confiance et d’amitié avec la Russie et que la France voulait rassembler les énergies et en aucun cas diviser, hein. Bon ! J’ crois pouvoir dire qu’ ça s’est bien passé puisqu’ ça a duré beaucoup plus longtemps (il sourit jusqu’aux oreilles.) qu’il n’était prévu. J’ai j’ai trouvé un homme (le pitre, grimaçant) très au fait de ses dossiers (le pitre souriant…), très calme, très intelligent. Et c’était très intéressant d’évoquer tout ceci. (Nous avons affaire, ici, à des jugements : jugements du pitre sur le président de la Russie, sur la conversation.) Il m’a expliqué en détail la proposition qu’il avait faite au président Bush, quelques dizaines de minutes auparavant, s’agissant d’ l’affaire du radar (et il y a des journalistes pour prendre des notes !) et des missiles et je lui ai proposé que des experts militaires français, des experts militaires russes se réunissent pour voir ce qu’il en était. Bon ! Je J’ dois vous dire que j’ai eu beaucoup de de plaisir et d’intérêt à à à parler avec le président Poutine. (Fort heureusement pour le pitre… Il y avait un pupitre.)
     
[Vidéo Y., « Sarkozy ivre au G8 : L’intégrale », mise en ligne le 14 juin 2007.]
     
Et c’est ce pitre pour lequel madame Bernadette Chodron de Courcel, épouse de Jacques Chirac ex-président de la république, monte au créneau ? Et pourquoi donc, cette dame de 81 ans, veut-elle faire le lit de ce pitre ? Pourquoi donc veut-elle voir revenir à la fonction présidentielle, en 2017, ce pitre doublé d’un criminel ?