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17/03/2014

201 - Ali Zeidan, le collaborateur des chefs d'Etat criminels occidentaux et pro-occidentaux...

Texte écrit Lu 17 Ms 2014, 12 h, aussitôt publié.

fpetitdemange le 17/03/2014 à 12:07

Ali Zeidan, le collaborateur des chefs d’Etat criminels occidentaux et pro-occidentaux…

     Après avoir été le pays le plus pauvre de la planète, la Libye était, en 2010,  le pays le moins endetté de tous.
     Depuis la Révolution Blanche (réalisée sans effusion de sang) en 1969, ce pays progressait, au point de pouvoir mettre en place, avec ses pays frères africains, les Etats-Unis d'Afrique qui auraient permis, aux peuples de ce grand et riche continent, de développer, à leur convenance et en toute indépendance, leurs pays. Les jeunes révolutionnaires, menés par Mouammar Kadhafi, Abou Bakr Younis Jaber, et une centaine d'autres, avaient redonné au peuple libyen, sa dignité, et avaient, avec ce peuple sorti de l'analphabétisme, porté haut le drapeau de la république arabe libyenne puis le drapeau vert de la Grande Jamahiriya Arabe Libyenne Populaire Socialiste.
    
En 2011, la contre-révolution (durant laquelle le sang a été versé, faisant mourir hommes, femmes, enfants) a permis à des exilés libyens, plus états-uniens que libyens, revenus au pays dans les valises de la CIA, et poussés par un Polichinelle (Bernard-Henri Lévy), faux philosophe, faux écrivain, faux cinéaste, mais vrai agent sioniste du Mossad, de jouer aux petits messieurs et d'accaparer le pouvoir pour mettre en place un système libéral (qui permet à une minorité de s'enrichir en raison inverse de l'appauvrissement de la majorité) partout où il s'impose : ces parvenus, traîtres à la cause arabo-africaine, qui n'ont rien fait pour leur pays, se sont installés dans les fauteuils d'un pouvoir usurpé, obtenu, par la force brutale des bombes, des mains des étrangers.
    
Ali Zeidan, comme Mohamed Youssef el-Megaryef, comme Mustapha Abdel Jalil, ont contribué à semer la mort, à détruire le pays et à déstabiliser le pouvoir du peuple, à rappeler les anciens colonisateurs sur le sol libyen. Ils se sont déshonorés en meurtrissant leur pays natal et ont roulé "le drapeau de la honte" de l'ancienne monarchie du roi fantoche Idriss 1er dans la fange de la guerre et dans le sang des Libyens et des Libyennes. Jamais il n'y a eu autant de femmes violées et mutilées, d'hommes torturés, d'enfants traumatisés, de prisonniers maltraités... Il s'agit d'un génocide politique et d'une catastrophe économique, mais aussi d'un chapitre des plus inhumains de l'histoire de ce pays. Et maintenant, ces incapables, ces incompétents, ces criminels fuient la Libye comme des couards, des poltrons, des lâches !  Aujourd'hui, les criminels exilés libyens offrent un spectacle piteux au monde entier : combien d'Occidentaux qui leur ont fait des sourires, se moquent dorénavant d'eux ! Mouammar Kadhafi avait prévu cela. Ces crétins, manipulés comme des marionnettes, ont maltraité, frappé à mort, assassiné l'un des hommes qui leur avaient tout donné, y compris la gratuité des études.
    
Je suis de cœur et d'esprit avec les Africains et les Africaines (et donc avec les Libyens et les Libyennes) qui renverront les Occidentaux et pro-Occidentaux chez eux : l'Union Africaine a été créée pour rendre les peuples libres, indépendants et souverains. L'Union Africaine doit se faire respecter et amener les Libyens qui dissimulent le lieu d'ensevelissement de Mouammar Kadhafi, de son fils Moatassim et d'Abou Bakr Younis Jaber, à restituer les corps à leurs familles respectives car cette dissimulation est l'un des crimes les plus ignobles qui soit.
     Quant à c
es chefs d’État occidentaux qui veulent se mêler des affaires intérieures des autres Etats, de mandat en mandat, ils endettent toujours plus leurs pays, se révèlent incapables d’administrer les affaires qui leur ont été confiées par le peuple, ajoutant le chômage au chômage, la pauvreté à la pauvreté, la misère à la misère : combien de Français et de Françaises vivent dans des logements insalubres, se rationnent sur le chauffage en hiver, l'électricité pour la lumière, l'eau, etc. Les Libyens et Libyennes, qui se plaignaient de la GJALPS, auraient bien dû venir en France effectuer un petit séjour, non pour faire du tourisme, mais pour se rendre compte par eux (elles)-mêmes de l'état de décadence politique, économique, sociale, culturelle, linguistique dans lequel elle se trouve.

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